Premiers résultats publiés
Au cours de sa première année d'existence, l'association Circolab a tenté de lever les obstacles au réemploi des matériaux. Dans le pays du béton, la tâche n'est pas aisée. Notamment en raison des freins liés à l'aptitude à l'usage des produits, les risques sanitaires induits ou l'assurabilité (décénnale, dommage ouvrage)
Pour relever ce défi, l’association a pu compter sur le soutien d’une quarantaine de maîtres d’ouvrage privés et publics, d’entreprises de construction, d’architectes, de bureaux d’études, d’avocats, de contrôleurs techniques et d’organisations professionnelles.
"Cette première année préparatoire nous a permis de poser les fondations, notamment avec la question fondamentale de l’assurabilité, indique Thierry Laquitaine, président de l’association. « Désormais, nous allons entrer dans une phase opérationnelle où nous allons intégrer des clauses dans les cahiers des charges, fixer des objectifs avec nos prestataires, architectes, entreprises, démolisseurs et travailler sur les questions de traçabilité et de logistique"